Mais ces détails même n’intéresseront personne avant cinquante ans : l’auteur de Tête d’or est ici ou là, selon qu’il a choisi. […] Tête d’or fut mis à la mer un jour par un homme qui écrivit en français avec génie, il y a sept ou huit ans, et qui depuis s’est tu. […] Cependant Tête d’or est blessé. […] Elle se réveille de sa douleur, elle crie ; Tête d’or sort de la mort, se traîne, arrache les clous. La princesse délivrée lui pardonne et l’aime, mais Tête d’or veut mourir seul, comme un roi, sans espoir et sans amour.
Mais nous assurerons avec la même vérité, qu'après la lecture de son Discours sur les progrès des Lettres en France, mis à la tête de la nouvelle édition des Bibliotheques de la Croix du Maine & de du Verdier, nous nous sommes applaudis de voir nos principes conformes aux siens. […] L'Introduction qu'il a mise à la tête de la Bibliographie de du Verdier, & qui paroît une suite naturelle du Discours sur les progrès des Lettres, est un morceau de critique qui ne fait pas moins d'honneur à son discernement & à sa plume.