En étant conséquente au système sur lequel cet ouvrage est fondé, au système qui considère la liberté absolue de l’être moral comme son premier bien, j’ai dû préférer et indiquer comme le meilleur et le plus sûr des préservatifs contre le malheur, les divers moyens dont on va voir le développement.
Elles l’affirment en ce sens qu’elles font partie d’un système général de contrainte. […] Elles ne sont qu’une pièce dans un système de servitude, et l’individu, pour bénéficier de cette loi, doit se plier aux formalités obligatoires.