Sismondi, pour sa part, dans ses cours professés à Genève, y aida ; mais ce fut surtout le modeste, savant et désintéressé Fauriel qui fonda réellement chez nous cette étude méthodique et approfondie. […] Ce qu’il fallait à Goethe à ce moment, c’était surtout un informateur. […] « Je n’oublierai jamais surtout, disait-il, le jour où je lui ai dit adieu. […] Ce n’est exact ni dans l’ensemble, ni surtout dans le détail. […] J’ai surtout remarqué deux hommes d’esprit de vos amis, Doudan et Molli, qui m’ont dit sur vous des choses fines et vraies qui m’ont fait plaisir, et dont le résumé est ceci : que depuis plusieurs années vous aviez singulièrement accru encore votre talent, et comme fond et comme forme, et ne cessiez de l’accroître.
Son Traité des Sens, surtout, est plein d’idées neuves, profondes, & propres à faire sentir qu’il eût pu s’illustrer dans les Lettres, s’il s’y fût uniquement dévoué.