Si j’y insiste, c’est avec la conviction qu’il a eu sur notre génération littéraire une influence bien plus grande qu’on ne le suppose ; de tous les ouvrages du romancier, c’est aujourd’hui le plus goûté.
Le journal qu’ils reçoivent de Paris a parlé, et l’on suppose qu’ils s’inclinent très bas, qu’ils n’osent juger à leur tour les pièces centenaires et les artistes applaudis par les Parisiens. […] Elle suppose un absolu, le théâtre, une chose qui est à part, immuable, à jamais fixée par des règles.