Dans les deux nouvelles supérieures du recueil de M.
N’est-il pas naturel en effet que la Providence divine ayant pour instrument la toute-puissance, exécute ses décrets par des moyens aussi faciles que le sont les usages et coutumes suivis librement par les hommes… que, conseillée par la sagesse infinie, tout ce qu’elle dispose soit ordre et harmonie… qu’ayant pour fin son immense bonté, elle n’ordonne rien qui ne tende à un bien toujours supérieur à celui que les hommes se sont proposé ?