Voici le sujet du roman : Lorsque Zacharias Kobus, juge de paix à Hanebourg, mourut, en 1832, son fils Fritz Kobus, se voyant à la tête d’une belle maison sur la place des Acacias, d’une bonne ferme dans la vallée de Meisenthâl, et de pas mal d’écus placés sur solides hypothèques, essuya ses larmes et se dit, avec l’Ecclésiaste : « Vanité des vanités, tout est vanité !
Puis changeant de sujet : « Moi je n’ai jamais fait mon chemin avec l’Empereur, parce que je vais tout droit… On ne m’a jamais prise dans des tripotages, jamais, jamais !