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475. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309

Giraton entreprit de restaurer ce type fameux de Pedrolino ou Pierrot ; il lui rendit son ancien caractère, à la fois niais et badin, son bon sens mélangé de sottise et de crédulité, et il eut un très grand succès. […] Mentionnons encore Angelo Costantini (Mezzetin) admis en 1683 ; Giuseppe Tortoriti (Pasquariel) admis en 1685 ; Évarista Gherardi, fils de Flautin, qui débuta, le 1er octobre 1689, dans l’emploi d’Arlequin, et s’y maintint avec succès malgré l’écrasant souvenir de son prédécesseur.

476. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « L’Âge héroïque du Symbolisme » pp. 5-17

Il y a ceux qu’inquiète le problème redoutable de la Destinée ; ceux qui, méprisant les succès faciles, les satisfactions grossières et les lauriers monnayés, tentent l’escalade des sommets inaccessibles et cherchent seulement, en s’élevant, à s’abstraire Du vacarme que font les fantômes entre eux. […] Un tel succès ne pouvait manquer d’être consacré par une explosion de snobisme.

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