L’Epopée exige de la fécondité dans l’invention, de l’élévation dans les sentimens, de l’agrément dans les détails, de la vivacité dans les images, de la chaleur, & sur-tout de l’harmonie dans le style. […] Boileau a donc eu raison de ridiculiser cet Ouvrage, en donnant de son style une imitation très-propre à la décrier.
Non : les Ouvrages de M. de Crébillon en sont la preuve : Tanzaï, le Sopha, Alcibiade, &c. n’ont pas même le mérite du style. […] C’est à ce ton, c’est à ce style que M. de Crébillon auroit dû s’attacher par préférence.