Rousseau contre Molière J’examinerai cette question dans l’ordre suivant : jugement de Rousseau sur la comédie de Molière le Misanthrope ; autres pièces de Molière blâmées par Rousseau ; silence peut-être significatif de Rousseau sur d’autres pièces de Molière ; griefs généraux de Rousseau contre Molière ; idées générales de Molière et de Rousseau. Cet ordre ropalique, je veux dire qui élargit progressivement la question, n’est peut-être pas le meilleur. Après délibération, il m’a paru celui qui était pour moi le plus commode. Je crois du reste que le public est assez indifférent à l’ordre qu’on suit, pourvu qu’il y en ait un et qu’on s’y tienne. Je n’ai pas du tout traité ici la question de Rousseau ennemi du théâtre.
Montesquieu disait : « En tel cas… la République est une dépouille. » En style moins noble on peut dire : « En France le ministère est un gâteau. » Quand il s’agit de partager, il ne s’agit pas d’attribuer.