Lorsque le destin plus prospère Me ramena chez mon vieux père, Le seuil de la maison se ferma devant moi ; Les valets insolents, à l’audace impunie, Me jetèrent de loin leur brutale ironie… Et j’ai souffert cela pour toi ! […] Mais eux, avec l’entrain de la force qui crée, Affrontent la fumée et le four éclatant : Le travail fait les cœurs ; cette douleur sacrée Donne un si mâle espoir qu’on la souffre en chantant !
Elle n’hésita pas, mais elle souffrit. […] belle Ame en deuil, depuis ce jour flatteur, Victimes comme toi, sous une autre apparence, Ont souffert dans leur cœur.