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424. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite.) »

   Lorsque le destin plus prospère    Me ramena chez mon vieux père, Le seuil de la maison se ferma devant moi ; Les valets insolents, à l’audace impunie, Me jetèrent de loin leur brutale ironie…    Et j’ai souffert cela pour toi ! […] Mais eux, avec l’entrain de la force qui crée, Affrontent la fumée et le four éclatant : Le travail fait les cœurs ; cette douleur sacrée Donne un si mâle espoir qu’on la souffre en chantant !

425. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « MADAME TASTU (Poésies nouvelles.) » pp. 158-176

Elle n’hésita pas, mais elle souffrit. […] belle Ame en deuil, depuis ce jour flatteur, Victimes comme toi, sous une autre apparence, Ont souffert dans leur cœur.

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