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1798. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Ce rôle d’Henriette est un rôle fâcheux, j’en conviens, pour les grandes coquettes qui se plaisent à montrer, à tout propos, comme un marchand son enseigne, leurs bagues, leurs colliers, leurs ceintures, leurs rivières, leurs peignes, leurs bracelets, mais ces grands rôles des ingénuités ingénues ne souffrent pas les diamants et les perles. […] Comment souffrir que l’insulte, en présence de la multitude avide, vienne salir vos traits, votre honneur, votre famille et vos amis livrés en pâture, aux calomniateurs ?

1799. (1856) Articles du Figaro (1855-1856) pp. 2-6

L’auteur de la Folle du Logis a beaucoup souffert ; il le dit lui-même un peu dans sa préface, — et à travers le souffle ému de ses strophes on le devine surabondamment.

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