Le spectateur souffre de l’angoisse des derniers instants, plus terribles que la mort elle-même. […] Au surplus, quand je dis qu’entre deux actes, liés par le pathétique d’une même situation, l’entr’acte doit être réduit à la plus petite durée possible, ce n’est pas un conseil discutable que je donne, mais une règle indiscutable que j’énonce et qui s’impose au nom de principes artistiques qui ne souffrent pas d’objections.
Quant à la littérature, elle demeure complètement étrangère à l’affaire, et dès lors elle ne saurait en souffrir. […] Eh bien, la vérité au théâtre souffre encore de tout cela.