Si, pour les écrivains qui se respectent, il est, à certains égards, bien pénible de venir même toucher par allusion à ces tristes conflits, quelque chose ici l’emporte, le besoin pour eux de rendre hommage à la vérité et de ne pas laisser s’autoriser par leur silence l’ombre d’un doute sur ce qu’ils pensent, sur ce qu’ils souffrent de tout ce bruit.
Elle s’est revêtue, sans qu’au fond la sincérité en souffre, de toute sa moralité brillante et d’une teinte de clarté plus continue ; le service envers le genre humain, ce bienfait perpétuel qui émane d’une noble lecture, a été plus complet.