/ 2936
1704. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 493-499

L’accueil fait au Préjugé à la Mode, où le comique partage la scene avec le pathétique, l’encouragea dans cette carriere, & depuis il n’est plus sorti de cette bigarrure monstrueuse qu’on auroit dû proscrire dès sa naissance.

1705. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Doyen  » pp. 153-155

C’est que dans l’instant choisi par Doyen, il a fallu donner l’air de la douleur à la déesse du plaisir ; c’est que les chevaux d’Enée d’origine céleste étaient une proie importante, et qu’il ne fallait pas oublier que Diomede avait recommandé à son écuyer de s’en emparer, s’il sortait victorieux du combat ; c’est qu’après la blessure de Venus, Diomede est tranquille ; c’est que Venus est hors de la scène. etc… Avec tout cela ; excepté Deshays, je ne crois pas qu’il y ait un peintre à l’Académie en état de faire ce tableau.

/ 2936