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1861. (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1889 » pp. 3-111

Vendredi 12 avril Ce soir, je brûle les cheveux blancs de ma mère, des cheveux blonds de ma petite sœur Lili, des cheveux d’un blond d’ange… Oui, il faut songer à la profanation qui attend les reliques de cœur, laissées derrière eux par les célibataires. […] Vendredi 4 octobre Songe-t-on qu’au jour d’aujourd’hui nous avons soixante-huit préfets et sous-préfets juifs, et que cette prépotence dans l’administration, n’est rien auprès de l’influence occulte des petits conseils sémitiques, en permanence dans chaque cabinet de chacun de nos ministres.

1862. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Bernardin de Saint-Pierre »

temps d’ivresse et de bonheur qui s’est écoulé comme un songe !

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