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333. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Mémoires de l’impératrice Catherine II. Écrits par elle-même, (suite et fin.) »

Que de gens, en arrivant à Naples, entre tant de belles choses à voir sous le soleil, n’ont rien de plus pressé que de courir au Musée secret ! […] Dans ce rapprochement qui se faisait naturellement d’elle et de Louis XIV, elle n’était pas sans se rappeler les revers qui attristèrent les dernières années du grand roi ; mais ces idées ne faisaient que lui traverser l’esprit et « passaient comme des nuages. » Elle retrouvait aussitôt sa sérénité, n’oubliant jamais cependant que rien n’est stable sous le soleil, et que la gloire et le succès sont choses passagères et incertaines.

334. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

« Elle ne vivait point comme le reste des mortels ; elle ne s’abaissait point à se régler sur les horloges… Elle était ennemie du soleil… Elle ne sortait jamais en plein midi ; elle ne se levait qu’au coucher du soleil, elle ne se couchait qu’à son lever.

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