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1642. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Corrompant sans plaisir, amoureux de lui-même, Et pour s’aimer toujours voulant toujours qu’on l’aime, Regardant au soleil son ombre se mouvoir ; Dès qu’une source est pure et que l’on peut s’y voir Venant, comme Narcisse, y pencher son front blême Et cherchant la douleur pour s’en faire un miroir. […] Le chagrin des vieux jours ne peut aigrir mon âme Contre les doux transports de l’amoureuse flamme ; Et bien que mon sort touche à ses derniers soleils, je dirai que l’amour sied bien à vos pareils, Que ce tribut qu’on rend aux traits d’un beau visage De la beauté d’une âme est un clair témoignage, Et qu’il est malaisé que sans être amoureux Un jeune prince soit et grand et généreux.

1643. (1906) Propos de théâtre. Troisième série

Sophocle. Œdipe à Colone Adaptation en trois actes de M. Jules Gastambide, musique en scène de M. Francis Thomé (Théâtre de l’Œuvre). L’Œuvre nous a présenté sur la scène du Nouveau-Théâtre une adaptation française d’Œdipe à Colone par M. 

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