L’âme indépendante et ferme qu’il avait reçue, peut-être l’eût-il conservée ; mais il n’aurait point dit à un de nos petits souverains, comme à Alexandre le Grand : Retire-toi de mon soleil. […] Je viens vous rendre, comme à mon Dieu, les mêmes hommages. qu’au Soleil.
Georges Auric mit en musique plusieurs poèmes de Radiguet dont « Les joues en feu », « Déjeuner de soleil », « Pelouse » ; la partition de ces trois morceaux fut publiée aux éditions de la Sirène en 1921.