On aura sûrement fini ce soir. […] « C’est peut-être le soir qu’on prend pour une aurore ! […] Ce soir-là donc nous ne voguions pas en silence. […] Et quand vous rentrez le soir dans votre maison. […] Et le soir c’est fait.
Il y a moins de soleil, moins de clarté diffuse dans ce second recueil, mais le crépuscule y prend plus de profondeur, les ombres mélancoliques du soir y traînent plus de recueillement.