Il dut être remis à un soir très prochain, dans la même semaine, vers 5 heures. […] Le soir était doux, un peu humide de la nouvelle mollesse d’atomes au printemps venant. […] Et le soir vient, un calme sur l’eau. […] Kahn recevait des amis ce soir-là, tout autour d’une longue table où traînaient des poignards ! […] des soirs dans ta sévère fontaine J’ai de mon rêve épars connu la nudité.
Une jeune fille qui, après avoir été virginalement aimée, se serait faite religieuse, pourrait presque lire et chanter, sous la grille, cette mystique romance inspirée par son chaste souvenir : Dans sa cellule A vous, ma Colombe voilée, A vous les roses de l’espoir, Et les brises de la vallée, Et les enchantements du soir ! […] Mais, ô ma Colombe voilée, Vous avez l’éternel espoir, Et les brises de la vallée, Et les enchantements du soir ; Et quand l’ombre apporte sa trêve A vos labeurs interrompus, Vous trouvez dans le moindre rêve La paix du Ciel que je n’ai plus !