La croyance au monde extérieur est, d’un certain point de vue qui ne se suffit d’ailleurs pas à lui-même, un acte de foi en la société, et son existence ce sont les perceptions des autres.
Une société, dit-il, ne réussit à s’affranchir, dans une certaine mesure, de la tyrannie des conventions, que lorsqu’elle est profondément renouvelée par l’infusion d’un sang étranger ou par de grands mouvements philosophiques et religieux.