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507. (1913) Les idées et les hommes. Première série pp. -368

Et il a dressé le bilan d’un quart de siècle. […] Il a l’air écrit avant les siècles de la pensée et de la vie chrétienne. […] On a bouleversé, dans notre pays, depuis un siècle et, avec plus d’acharnement, depuis un quart de siècle, à peu près tout. […] Le onzième siècle ne les effrayait pas, ni le douzième ! […] Ces briques sont de quinze siècles, au moins, antérieures à l’ère chrétienne.

508. (1825) Racine et Shaskpeare, n° II pp. -103

Je respecte infiniment ces sortes de Classiques, et je les plains d’être nés dans un siècle où les fils ressemblent si peu à leurs pères. […] monsieur, qui a jamais parlé de siffler Voltaire, Racine, Molière, génies immortels dont notre pauvre France ne verra peut-être pas les égaux d’ici à huit ou dix siècles ? […] À cette époque, la figure colossale de Napoléon aura fait oublier pour quelques siècles les César, les Frédéric, etc. […] Encore sous une forme classique et copiée d’Homère, à chaque instant le Tasse met-il les sentiments tendres et chevaleresques de son siècle. […] Pourquoi n’a-t-on pas découvert les manuscrits de Sophocle et d’Homère seulement en l’an 1600, après la civilisation du siècle de Léon X ?

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