Combien de fois eux-mêmes ne se sentiraient-ils pas écœurés, s’ils devaient lire dans le calme les vieilles histoires abêtissantes et stupéfiantes, qui sont la base et le fond de leur littérature !
François-Victor Hugo a senti les beautés du Henri V autant que personne, et il les a traduites avec la fidélité d’expression à laquelle il nous avait accoutumés.