Le voyageur qui se sent entraîné par son instinct vers des lieux inconnus, se dit que ce sont certainement d’anciennes patries qu’il va revoir : J’habitai, je le sais, dans d’autres existences Ces pays radieux, et je suis convaincu Que je sais retrouver, à travers les distances, Tous les endroits certains où j’ai déjà vécu.
Ce qui est tout sérieux, ce qui est bien conforme à l’esprit intérieur, c’est sa méditation perpétuelle de l’Écriture dès qu’il sentit que le terme de sa vie était proche. « Il avait pris une grande dévotion à réciter souvent le psaume XXI : Mon Dieu, mon Dieu, jetez sur moi votre regard ; pourquoi m’avez-vous abandonné ?