/ 3320
1798. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Charles Baudelaire. Les Fleurs du mal. »

Baudelaire qui les a cueillies et recueillies, n’a pas dit que ces Fleurs du mal étaient belles, qu’elles sentaient bon, qu’il fallait en orner son front, en emplir ses mains et que c’était là la sagesse. […] Baudelaire, cette poésie sinistre et violente, déchirante et meurtrière, dont rien n’approche dans les plus noirs ouvrages de ce temps qui se sent mourir.

1799. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Lamartine »

III Et comme on le sent, dans ces Mémoires inédits ! […] Sans études profondes, il se sentait « lui », comme Médée, et c’était assez !

/ 3320