François Coppée une œuvre plus importante que cette Arrière-Saison, qu’il vient de publier, encore qu’il y ait là des pages gracieuses et d’un sentiment bien humain. […] Ce qu’il peint de préférence ce sont les sentiments les plus ordinaires et les mœurs les plus modestes.
Francisque Sarcey et généralement des gens de bon sens, il s’assure que l’absurde est non le sentiment excentrique d’un indépendant ou d’un réfractaire, mais bien l’opinion même de la multitude. […] Mais encore y inclura-t-il tout ce qu’il y veut mettre, et les petites phrases n’y parviendraient pas, qui disloquent les rapports que la période souligne : « … Car c’est moins le temps qui use nos sentiments que le crédit qu’on leur accorde et, si les raisons d’aimer sont en nous-mêmes, c’est d’autrui d’où proviennent d’ordinaire celles qui font que nous n’aimons plus. » M. de Régnier est triste, et la mélancolie des Contes qu’il s’est faits à soi-même nuira à leur succès.