Mais on ne lit pas que par les yeux ; on lit par les oreilles, on lit avec le souvenir de la parole et surtout les vers auxquels on demande des sensations musicales en même temps que des impressions sentimentales.
Viennent ensuite successivement : au Gymnase (1855), Ceinture dorée, trois actes en prose écrits avec Édouard Foussier, et, au Vaudeville (même année), le Mariage d’Olympe, dont le coup de pistolet final produisit une si vive sensation et devait être depuis tant de fois imité.