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2764. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Sénecé ou un poète agréable. » pp. 280-297

Maynard, après avoir épuisé le récit des infortunes d’Apollon et de ses exils terrestres, le montre rétabli dans sa gloire, mais jusque dans l’Olympe ayant à lutter toujours et à travailler, trouvant « avec l’honneur la fatigue mêlée » ; et il en tire une morale poétique qui semble d’abord toute dans le sens de Despréaux : Ne te rebute point ; change, corrige, efface.

2765. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Le duc de Rohan — III » pp. 337-355

On a dit de sa prose qu’elle sent sa condition et sa qualité ; elle est surtout d’un sens excellent, très sain et judicieux.

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