Sans doute il en souffrait par moments, et il déplore lui-même quelque part ce je ne sais quoi d’abaissement secret, auquel un noble cœur a peine à descendre ; mais, chez lui, la nécessité était plus forte que les délicatesses. […] Ajoutez à ces imperfections naturelles l’influence d’une poétique superficielle et méticuleuse, dont Corneille s’inquiétait outre mesure, et vous aurez le secret de tout ce qu’il y a de louche, d’indécis et d’incomplètement calculé dans l’ordonnance de ses tragédies.
Une secrète horreur se mêlait à l’admiration qu’il inspirait. […] Un remords secret mordait tous les cœurs.