C’est le premier devoir de tout homme qui attire assez les yeux sur lui par ses talents, pour qu’il se trouve des gens intéressés à la tromper sur lui-même.
Pourquoi, dans notre Université si allègre au labeur, si pleine de sève et de force, et un peu trop absorbée par la contemplation du théâtre français, pourquoi ne se trouve-t-il pas un jeune maître assez audacieux pour consacrer une partie de sa vie, toute sa vie s’il le faut, à dix ou douze volumes sur une époque dont la connaissance nous donnera la clef de tant de problèmes ?