L’important, pour lui, l’art suprême, c’est l’impression et l’expression, — c’est la scène qui succède à la scène, — c’est le pathétique et le poignant des choses, des événements et des personnages.
Mais cette scène, suis-je trop exigeant, demeure pour moi un décor magnifique dont l’âme est un peu incertaine. […] Et quel motif d’inspiration un musicien de génie ne trouverait-il pas dans la scène que je vais noter, où deux thèmes de guerre civile s’enlacent et s’élèvent étroitement réconciliés au-dessus d’un pauvre cercueil.