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879. (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLIXe Entretien. L’histoire, ou Hérodote »

je n’ai que toi d’enfant ; je ne puis, tu le sais, compter ton frère, à qui le sens de l’ouïe manque entièrement. […] répliqua le jeune homme, le songe que vous avez eu justifie la contrainte où vous me retenez, et je dois vous en savoir gré. […] Je n’en formais même pas le désir, et j’ai su m’abstenir d’une demande indiscrète. […] J’ai su, de cette manière, qu’il était le fils de Mandane, fille d’Astyage, et de Cambyse, fils de Cyrus, et qu’Astyage avait ordonné qu’on le fît périr. […] Je sens que les dieux m’ont fait naître pour mettre en vos mains tant de biens ; et vous les obtiendrez, car je sais que vous n’êtes inférieurs aux Mèdes ni dans la guerre, ni dans aucun genre.

880. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre quatorzième. »

En religion, beaucoup lui font un tort du mérite même que Fénelon sut tirer de sa défaite. […] » Mais il est tels secrets qu’il importe de savoir. […] Comme le sublime auteur de la Vénus de Milo, il sait nous faire voir la beauté nue innocemment. […] Tout ce qu’il en savait et tout ce qu’il en pouvait voir, il l’a su et il l’a vu en prenant la plume, et il y est entré avec une aisance et une grâce charmantes. […] Retrouvée, comme on sait, au commencement de ce siècle par Renouard.

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