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2029. (1896) Hokousaï. L’art japonais au XVIIIe siècle pp. 5-298

La même année, sous le titre de Itakoboushi, le nom d’une chanson à la mode dans ce temps, Hokousaï illustre deux volumes consacrés à la femme japonaise et la montrant saisie sur le vif, dans tous les abandonnements de ses poses et les coquets accroupissements de son être quand une pensée amoureuse l’occupe. […] Et toujours des dessins où, dans le premier jet, il saisit la mimique d’un corps qui danse, la gesticulation de bras et de jambes qui bataillent, et jusqu’à la gymnastique plongeante d’une pêcheuse de coquilles au fond de la mer.

2030. (1905) Promenades philosophiques. Première série

« Je ne puis exprimer, dit Gœthe, le sentiment de tristesse qui me saisit… » Avec quel bons sens il raille l’optimisme finaliste : « Les Grecs, avec leur imagination sereine, attribuaient à la nature une délicieuse intelligence. […] L’Académie française, d’ailleurs, est saisie du rapport de M. 

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