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392. (1848) Études sur la littérature française au XIXe siècle. Tome III. Sainte-Beuve, Edgar Quinet, Michelet, etc.

Des larmes assez pures, assez saintes, mouillent-elles ce tendre souvenir ? […] C’est une grandeur à la fois sauvage et sainte, fière et humble, âpre et soumise. […] Les saints, penchés sur leurs nues, assistent, sous l’œil du divin poète, à un drame composé de quatre journées, et coupé d’intermèdes. […] Il ne fait point partie de celui que le Créateur a fait représenter devant quelques saints du Paradis, et dont nous venons de vous donner un extrait. […] Que le poète se rappelle ce qu’il a dit : « Après l’amour, après la foi, l’art est beau, l’art est saint.

393. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 311-312

FONT DE St.

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