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17. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Vien » pp. 74-89

Le jeune homme qui est derrière le saint, sur le devant, est bien dessiné, bien peint. […] Les femmes accroupies aux piés du saint sont livides et découpées. […] La femme assise sur les marches, avec ses bras tendus vers le saint, est fortement coloriée ; la touche en est belle, et sa vigueur renvoye le saint à une grande distance. […] Le saint est très grand, et il le paroitroit bien davantage, s’il avoit la tête moins forte. […] Il y a dans cette gloire dont la lumière tombe sur le saint, quelques têtes de chérubins.

18. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Vie de la Révérende Mère Térèse de St-Augustin, Madame Louise de France »

Le temps n’était pas aux saintes. […] Elle donc était digne d’être religieuse, d’être sainte, d’être la première des carmélites du monde chrétien. […] Elle fut enfin gaiement une sainte, comme on était, en France, gaiement un héros, du temps de Fontenoy ! […] Telle elle fut, cette sainte dont la canonisation fait rire dans la boutique de la Revue des Deux Mondes. […] Marie-Antoinette elle-même, — n’a-t-elle pas, comme madame de Mirepoix, traité un jour d’intrigante sa sainte et royale tante Madame Louise ?

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