Il porte dans la société le caractère du sujet qu’il traite dans son atelier ; triste ou gai ; folâtre ou sérieux ; galant ou réservé selon la chose qui venait d’occuper son pinceau.
Que cet ouvrage sérieux ait la fortune rare d’être lu jusqu’au bout, il est aussi promptement oublié qu’un article de journal… Et voilà pourquoi les romanciers sont devenus des journalistes.