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361. (1854) Causeries littéraires pp. 1-353

Le charmant défaut des hommes très spirituels est de ne jamais avoir l’air de se prendre tout à fait au sérieux, même lorsqu’ils font des choses très sérieuses, comme le mérite ennuyeux des hommes graves est de ne se départir jamais du sentiment de leur importance, même quand ils font des choses légères. […] Mignet, plus de sérieux et de profondeur : on sent que l’un écrit pour une société plus polie, l’autre pour un public plus mûr. […] C’était bien sérieux ; un critique ? […] Tous les hommes sérieux accueillirent ces Lettres avec une vive sympathie, et M.  […] Pour que l’on accordât à sa vie un intérêt plus sérieux et une pitié plus ardente, il lui a manqué qu’on fût plus sûr de sa mort.

362. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Soulié, Frédéric (1800-1847) »

Victor Hugo Dans ses drames, dans ses romans, dans ses poèmes, Frédéric Soulié a toujours été l’esprit sérieux qui tend vers une idée et qui s’est donné une mission.

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