Le roi était défiant ; les malintentionnés lui insinuaient que l’archevêque pouvait bien le tromper et s’entendre sous main avec Rome. […] Le 9 janvier 1695, le roi lui écrivait de sa main une belle lettre sur la mort de l’abbesse de Port-Royal, sa sœur. Depuis 1690, il était désigné et nommé par le roi pour le chapeau de cardinal, mais sans espoir du côté de Rome, de l’obtenir. […] C’était un don ou plutôt un dédommagement du roi. Le roi, ayant voulu acquérir les justices de Paris appartenant à l’archevêque, on avait proposé à celui-ci, en manière d’échange, Meudon ou Conflans ; et sur le choix du prélat, le roi avait acheté Conflans de M. de Richelieu pour l’unir à l’archevêché.
Panégyriste des rois de Sicile près desquels se retira plus tard le poëte Eschyle, Pindare ne les loua que de leurs vertus, et au profit du commun salut de la Grèce, dont ces rois défendaient aussi la cause contre d’autres barbares alliés de la Perse. […] On leur demande, autour du roi, ce que font les Grecs. […] « Aussitôt après, toute la Grèce serait soumise au roi. […] « M’entend-il ce roi, dans sa béatitude et dans son sort égal aux dieux ? […] Quel roi que ce Darius !