Je vois dans le naturalisme un synchronisme du suffrage universel, et le protagonisme anti-esthétique de la canaille : l’écrivain fait sa cour à la rue, comme jadis au roi.
Il faut, pour affronter la mort d’un cœur égal, plus que du courage et plus que de la vaillance, car elle est l’évanouissement de l’énergie même que l’on voulait employer à la vaincre : devant ce roi des épouvantements toutes les forces de l’âme se fondent en terreur.