Cérès, s’avançant, montre au roi, chef de la justice, à Triptolème, à Dioclès, qui maîtrise les coursiers, au puissant Eumolpe, à Célée, pasteur des peuples, les saints rites de ses autels : elle leur enseigne à tous les divins mystères, à Triptolème, à Polyxène, à Dioclès, ces mystères terribles qu’il n’est permis ni de pénétrer, ni de savoir, ni de redire ; car une grande crainte des dieux enchaîne ici la voix. […] Il s’était nommé dans ses vers le serviteur de Mars, roi de la guerre, et le disciple instruit au don gracieux des Muses42.
Le roi repousse la belle esclave : jamais une autre femme qu’Alceste n’entrera dans son lit. […] Macbeth pourrait donc devenir roi, en tuant Duncan. […] Lorsque Macbeth prononce ces mots : « Le roi arrive ce soir… » et que, sa femme lui ayant demandé : « Et quand repart-il ? […] Cette voix, ce sera donc celle des trois sorcières. « Tu seras roi ! […] Nous ne savons quels sont les sentiments du roi et de la reine l’un pour l’autre (j’ai dit que le poète ne nous les montrait jamais en tête à tête).