Elle a des scènes de coquetterie délicieuses, avec le gai rire de sa bouche aux dents blanches, avec le tendre rire de ses doux yeux de chevreuil. […] Une salle qui n’ose ni rire, ni applaudir.
J’ai ri, me voilà désarmée, dit la Comédie. […] En parlant de la concubine de Marat, qu’il ose appeler la veuve Marat, au front souillé de laquelle il ose attacher ce noble voile de veuve, le plus beau qu’après son voile de vierge une femme puisse jamais porter, il écrit sans rire les mots suivants : « On trouva dans les papiers de Marat une promesse de mariage à Catherine Éverard. […] Ici les hiérarchies impossibles à abolir reviennent, et ne riez pas… M.