Dans les monarchies, elles ont à craindre le ridicule, et dans les républiques la haine. Il est dans la nature des choses, que, dans une monarchie où le tact des convenances est si finement saisi, toute action extraordinaire, tout mouvement pour sortir de sa place, paraisse d’abord ridicule.
Leurs manières étaient ridicules et faisaient sourire même ceux qui les respectaient. […] Cette tunique de Nessus du ridicule, que le juif, fils des pharisiens, traîne en lambeaux après lui depuis dix-huit siècles, c’est Jésus qui l’a tissée avec un artifice divin.