Burke a fait justice, dans une des pages de ses Réflexions sur la Révolution, de cette misérable haine des supériorités sociales qui essaye de leur enlever leurs soldats les plus désintéressés par la calomnie et le ridicule.
« Les morts, écrit-il, se nourrissent des mets que nous plaçons sur leur tombeau et boivent le vin que nous y versons ; en sorte qu’un mort à qui l’on n’offre rien, est condamné à une faim perpétuelle26. » Voilà des croyances bien vieilles et qui nous paraissent bien fausses et ridicules.