Guizot en est là de ses Mémoires ; je reviendrai, en terminant, sur le quatrième volume, qui contient le récit et le tableau de la Coalition en particulier. […] Beaucoup d’attitude ; le mot revient sans cesse.
Mais il est plus probable que Catherine écrivait ces pages, destinées à rester secrètes et confidentielles, pour se rendre compte à elle-même de ses années de jeunesse, de souffrance et de plaisir, pour revenir sur les impressions mélangées, mais si vives, qu’elle y trouvait en y repassant. […] Je revins à la maison très-contente de mon invention de simplicité, tandis que tous les autres habits étaient d’une richesse rare. » Que dites-vous du portrait et des sous-entendus charmants qui passent comme de légères ombres, et de la délicatesse des nuances ?