Deux chroniqueurs, B et C, ont-ils utilisé, chacun de leur côté, une source commune, X, qui ne se retrouve pas ? […] Chacun de nous peut retrouver dans ses souvenirs la façon absurde dont il a conçu d’abord les personnages et les scènes du passé. […] A côté de ces explications métaphysiques ou métaphoriques, se sont produites des tentatives pour appliquer à la recherche des causes en histoire le procédé classique des sciences naturelles : comparer des séries parallèles de faits successifs pour voir ceux qui se retrouvent toujours ensemble.
Cette fine satire des mœurs des gens d’église, cette gaieté maligne, c’est le vieil esprit français, c’est la veine des fabliaux, du Roman de la Rose, dont je suis pourtant fâché de retrouver les personnages allégoriques171, de Villon, de Marot.