Puisque j’ai osé écrire ce grand diable de mot, qu’on me permette d’ajouter qu’il y en a de deux espèces : celle précisément qui vient d’en haut et qui reste longtemps sans descendre, et celle qui vient d’en bas et qui ne reste pas longtemps même là. Eh bien, de ces deux gloires, Daly a déjà la première, celle qui reste longtemps sans descendre, mais qui, une fois descendue, reste ! […] Il y a même ici, pour le continuateur du chef-d’œuvre, un mérite absolu qu’il ne partage plus et qui reste exclusivement à lui. […] Voilà la question qui nous eût donné, à nous, si confiants en lui pour tout le reste, le léger frisson de l’inquiétude avant de l’avoir vu à l’action… Heureusement que nous l’y avons vu, et nous sommes rassuré !
Ma collection est épuisée ; il ne me reste plus que deux calembours qui ont déjà servi. — Donner des leçons d’argot, à quinze sous le cachet, aux vaudevillistes du Palais-Royal ? […] La preuve, c’est que, quand je dors, j’ai beau m’être repu, je rêve toujours que j’ai faim et que je n’ai rien pour dîner… (Il laisse tomber ses deux bras et reste, les yeux baissés, dans l’attitude du découragement. […] (Il jette le journal et reste quelque temps rêveur. […] De toutes mes splendeurs et de tous mes bibelots passés, il ne me reste plus que cette malle. […] Il ne reste plus rien à saisir ici ?