On a ses discours conservés au milieu de ses dépêches : ils ne ressemblent pas tout à fait aux harangues à la Tite-Live que lui prête le cardinal Bentivoglio en son Histoire. […] L’un et l’autre se retrouve en ce personnage, auquel le roi devrait désirer avoir beaucoup qui lui ressemblassent en son Conseil d’État.
La solitude fait cela ; il y vient des idées qui ne ressemblent à rien du monde, inconnues, jolies comme des fleurs ou des mousses. […] Barbey d’Aurevilly, qui a fait dès longtemps ses preuves dans le roman et dans la presse quotidienne, homme d’un talent brillant et fier, d’une intelligence haute et qui va au grand, a une plume de laquelle on peut dire sans flatterie qu’elle ressemble souvent à une épée.