De Wagner, « l’éminent critique musical » a écrit : « Si toute sa musique ressemble à l’ouverture du Tannhauser, nous comprenons le besoin qu’il a eu d’abriter sa pauvreté d’invention sous ses fausses théories. […] Merrill que « ce poète ne ressemble à aucun autre ».
Stendhal est un naturaliste, comme Balzac, et certes sa sécheresse de touche ne ressemble guère à la largeur parfois épique de Balzac ; mais tous les deux procèdent par l’analyse et par l’expérience.