Les procédés physiologiques ou naturels, bien qu’ils rentrent dans les lois de la chimie générale, ne ressemblent pas nécessairement à ceux que les chimistes mettent en œuvre ; ils sont généralement différents, ils sont spéciaux.
Et alors comme les malheurs se suivent et se ressemblent, et d’ailleurs que ça lui est bien égal, premièrement et d’ensemble il appelle, il attribue Vieille chanson le texte, ou l’un des textes les plus connus de notre très grand Du Bellay, (lui qui faisait alors profession de restituer, de restaurer la Renaissance française, surtout contre le dix-septième siècle, et surtout je pense parce qu’il devait compter que la Renaissance c’est plus près du Moyen-Âge, c’est donc plus romantique) ; (car il raisonnait généralement ainsi, pour ainsi dire) ; (je ne me dissimule d’ailleurs pas que si on lui disait qu’il a attribué du Du Bellay Vieille chanson, premièrement il dirait qu’il en a fait bien d’autres ; deuxièmement et surtout il ne croirait point, dans sa pensée, lui avoir fait tort ; peut-être au contraire) ; (car Vieille chanson dans sa pensée était certainement quelque chose de très bien. […] — Les tragédies de Racine sont des sœurs séparées alignées qui se ressemblent.