Ceux du temps passé ne ressemblent pas à ceux du siècle présent ; mais cette variété de physionomie, cette bigarrure d’ajustements, n’en forment pas moins une galerie intéressante pour le curieux qui examine et pour l’observateur qui compare.
En effet un long ouvrage doit ressembler, proportion gardée, à une longue conversation, qui pour être agréable sans être fatigante, ne doit être vive et animée que par intervalles ; or dans un sujet noble les vers cessent d’être agréables dès qu’ils sont négligés, et d’un autre côté le plaisir s’émousse par la continuité même.